Orodreth [VALIDE]

* Nom : Orodreth Aerendir
* Race : Humain
* Monde Natal : Midgard
* Taille : 1 m 85
* Poids : 80 Kg
* Age : 21 ans
* Arme préférée : Sabre elfique
* Devise : Mieux vaut la fermer et passer pour un con, que l'ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet
* Plat préféré : la raclette
* Animal de compagnie : Faucon pélerin (Mizrael)



* Caractéristiques :

o Physique : faible
o Mental : moyen
o Charisme : merdique


* Compétences de combat :

o Compétence 1 : maniement du sabre ==> bon
o Compétence 2 : combat à mains nues ==> faible


* Compétences personnelles :

o Compétence 1 : magie faisant appel à l'élément de l'eau ==> moyen
o Compétence 2 : oeil du faucon: possibilité de voir par les yeux de son familier (un plus haut niveau permettrait une acuité plus grande et une possibilité de ne lpus avoir de barrière matérielle, comme un mur) ==> merdique



* Inventaire :

Or : 225 po 204 po

Sabre elfique gravé de runes anciennes, cape de voyage noire, besace contenant de petits morceaux de viande, gant de fauconnier, liqueur de gnome, parchemin vierge, plume, encre, livre de sorts d'hydromancie encore bien trop compliqué


* Histoire du personnage :

Orodreth avait vu le jour dans la cité de Nazarion, l'une des neufs cités mères de Midgard, royaume des humains. Située au bord de l'Océan d'Iris, Nazarion était surnommée "la mercantile".
Son port était sans conteste le plus grand sur la surface de Midgard et jamais il ne dormait. Marchandises locales et exotiques y arrivaient sans cesse, rivalisant toujours plus d'originalité, de rareté, et bien évidemment de valeur. L'or passait entre toutes les mains pour souvent finir dans les mêmes bourses.
Le palais des milles fontaines trônait à l'extrême Ouest de la cité et se dressait tel un rempart face aux terres verdoyantes de Nazarithe dont elle était la souveraine.

Fils d'un tapissier et d'une bouquettière, le jeune Orodreth semblait destiné à devenir un marchand de plus dans la foule anonyme de ceux qui l'étaient depuis des années. Finarfin, son père, lui avait offert à l'âge de cinq ans un bébé faucon. Orodreth et lui avaient grandis ensemble et partageaient une affection mutuelle.


Le garçon passait beaucoup de temps dans les bois avoisinants en compagnie de son rapace, qu’il avait baptisé Mizrael. Ils passaient des journées entières à courir dans les bois et à chasser du petit gibier. Un jour d’automne où ils étaient sortis pour une nouvelle journée en forêt, Orodreth entendit un chant lointain, semblant provenir du cœur de la forêt. C’était une complainte douce, empreinte de sérénité. N’y tenant plus, le garçon, poussé par la curiosité, pris le risque de s’en approcher à pas de loup. Au bout de quelques minute d’une marche silencieuse, il arriva aux abords du chemin qui scindait la forêt en deux. Le chant était maintenant très proche. Prenant un pas mesuré, il s’approcha avec une discrétion absolue. Alors qu’il était sur le point de voir qui chantait cette magnifique complainte, il aperçu entre deux arbres les chanteurs drapés d’un blanc immaculé qui s’approchaient. Sa surprise le figea un instant puis d’un bond il se cacha dans les fourrés proches du chemin.
Les êtres drapés de magnifiques robes blanches et or avançaient d’un pas feutré au rythme du chant qu’ils psalmodiaient. Tous étaient grands, plus que la plupart des hommes, et tous dégageaient un charme d’une beauté sereine et sage. La plupart étaient à pied, mais d’autres montaient de grands chevaux blancs et élancés.

Orodreth avait entendu bien es histoires sur le peuple elfique mais c’était la première fois qu’il avait l’occasion d’en observer. Leurs oreilles longues dépourvues de lobes ne laissaient aucun doute quand à leur nature. Le garçon les trouva magnifiques, dignes des histoires que rapportaient les marins et voyageurs qui prétendaient pompeusement avoir vécus de grandes aventures à leurs côtés. Orodreth resta dans les fourrés quelques temps encore après leur passage, ébloui par la vision que lui avait offert le peuple sylvestre. Il n’en parla à personne en rentrant chez lui, de peur qu’on lui dise qu’il avait rêvé jusqu’à ce qu’il en soit convaincu lui-même.

Quelques temps plus tard, Orodreth, qui était alors agé de quatorze ans, voulu partir découvrir le monde de Midgard plutôt que de rester à voir sa vie défiler devant un comptoir sordide. Il embarqua sur un navire du comté de Thross, venu vendre de la soie et des tissus précieux. Les marins avaient acceptés de l’emmener pour peu de frais jusqu’au premier port de leur comté. Il était parti avec une bourse de quelques pièces d’argent, une besace remplie de fines lamelles de viande pour nourrir Mizrael, et un gant de fauconnier que son père lui avait offert le jour où le rapace avait finalement appris à voler. Jamais il n’avait oublié sa rencontre avec les elfes, et il s’était mis en tête de commencer son voyage par se rendre dans leur forêt sacrée, la Sylve du Solstice.
Il lui fallu plusieurs semaines de voyage et des arrêts réguliers dans les villages du comté de Thross, pour arriver aux abord du royaume des elfes de Midgard. Plus il s’approchait, plus la forêt lui semblait impénétrable. Ce n’est qu’arrivé au pied du premier arbre de la lisière qu’un passage sembla se découvrir devant lui.

Après quelques heures de marche, pendant lesquelles il avait perdu Mizrael de vue, une voix résonna dans son esprit, aussi claire et distincte que si la personne s’était trouvée en face de lui.
« - Bienvenue à Frondimne, Orodreth, fils de Finarfin. Je sens ton cœur hésitant alors que tu approches du but premier de ton voyage. »
Le garçon s’était figé à l’écoute de cette voix qui semblait sortir de sa propre tête. C’était une voix féminine, douce et apaisante. Elle eu un petit rire cristallin en ressentant son hésitation.
« - Allons approche, tu n’as rien à craindre. Si tes intentions avaient été mauvaises, jamais la forêt ne t’aurait ouvert les bras, et même si tu étais entré, nos archers t’auraient stoppés depuis bien longtemps. »
Orodreth repris sa marche et une poignée de minutes plus tard, entra dans une immense clairière au centre de laquelle se dressait la majestueuse Frondimne, baignée de lumière. Les feuilles des arbres volaient calmement dans l’air doux et parfumé de senteurs boisées. Orodreth entra dans la cité elfique et se dirigea vers le sommet de la tour principale comme s’il y avait vécu depuis toujours. Il arriva sur une terrasse entourée de piliers ornés de superbes motifs. A l’extrémité se trouvait un trône sur lequel était assise une superbe femme elfe. A tout bien y réfléchir, c’était la première qu’il voyait depuis son entrée dans la forêt.

« - Sois le bienvenu, jeune Orodreth
- C‘est vous. Vous qui me parliez tout à l‘heure, m‘invitant à entrer.
- c‘est exact. Pardonnes-moi je ne me suis pas présentée. Mon nom est Farrania.
- Farrania … Farrania la reine des elfes, mais comment? Comment se fait-il que personne ne m‘ait empêché de vous approcher ainsi, ou n‘ait pris la peine de s‘assurer de ma conduite en me menant ici?
- Détrompes-toi, Orodreth, nos guerriers te suivent depuis ton entrée dans notre domaine. Encore maintenant ils te surveillent, mais ne bougeront pas sans que je le leur demande.
- Votre Altesse pardonnez-moi. Je ne me suis même pas présenté convenablement face à vous».

Le garçon mis un genou à terre et s’inclina devant la reine du peuple immortel.

« - Allons Orodreth lèves-toi. Ne sois pas si gêné. Je ne te connais pas et pourtant, j’ai envie de t’accueillir ici du mieux que je le pourrais. Considère cet endroit comme ta maison aussi longtemps qu’il te plairas. Apaise tes inquiétudes, ton faucon ne va tarder à te rejoindre, il est arrivé ici bien avant toi, mais est resté à la volière à ma demande, c’est un compagnon très intelligent que tu as là. »

A ces mots, la ville sembla s’animer soudain. Des elfes passaient partout dans les rues de Frondimne, peuplaient la clairière, sortirent des hauteurs des arbres. Un elfe d’apparence jeune, disons qu’il paraissait plus jeune que les autres, le conduisit à une petite chambre très joliment meublée et lui dit que cette pièce était sienne pour le temps qu’il voudrait.
Là-bas, il fut initié au maniement du sabre et à l'écoute de la nature. Développant ainsi une faculté de symbiose avec son faucon, Mizrael. Il passait de nombreuses heures à discuter avec la reine ainsi qu’à plusieurs elfes. Il s’était d’ailleurs lié d’amitié avec Zalual, l’elfe qui l’avait mené à sa chambre. Ils lui apprirent tout ce qu’il voulait savoir sur l’histoire de leur peuple, si chacune des légendes racontées étaient vraies.

Orodreth passa deux ans dans le royaume sylvestre avant de reprendre la route. Au moment de son départ, la reine lui fit cadeau d’un magnifique sabre elfique. Sa lame étant spécialement enchantée pour ne jamais s’émousser ni se briser.




Orodreth avait repris la route depuis un mois quand il arrive aux pieds des Cimes Eternelles. Les montagnes enneigées se dressaient telles une immense muraille entre les royaumes du Nord et de l’Ouest. Creusées de part et d’autre par le peuple nain, les Cimes recelaient un réseau de galeries d’une complexité labyrinthique. Les nains n’y vivaient plus depuis longtemps, préférant partir vers les montagnes rocheuses du Sud-Est de Midgard, dernier site que leur peuple n’avait encore que très peu exploité.
Au centre des Cimes se dressait en point culminant un volcan éteint dont le cratère immense s’était lentement transformé en un lac aux eaux immobiles et profondes. L’eau était d’une superbe couleur turquoise près des berges et se changeait en un bleu sombre presque noir en son centre, là où se tenait une immense citée bâtie sur ce qui semblait être une plate-forme rocheuse naturelle. Mais en ce lieu, les lois de la nature s’appliquaient de manière bien différente qu’ailleurs.
Le voyage d’Orodreth l’avait mené aux portes de Lunaras, forteresse du savoir magique. Posée en maîtresse de la montagne, aucun pont ne semblait la rattacher à la rive du lac. L’eau du lac pris une forme humaine en émergeant face à Orodreth. Après lui avoir expliqué par quels chemin ses pas l’avaient conduit à Lunaras, la forme lui demanda de plonger sa main dans son corps liquide.

- Vous ne recelez pas d’intentions malignes, Lunaras vous est ouverte, voyageur.

Au moment où la forme prononça ces mots, une lumière jaillit du pied de la cité et traversa le lac telle une flèche d’or pour former un pont grâce auquel Orodreth pu s’approcher des portes de la cité.
La première fois qu'il en franchit l’immense portail orné de statues des maîtres magiciens lui donna l'impression d'être en plein cœur d'un feu d'artifices. Milles couleur éclataient de part et d'autre des allées pavées de briques tantôt rouges, tantôt vertes émeraude, ou encore d’un bleu pastel criard.
Partout les rues se trouvaient encombrées de larges chapeaux pointus et de robes aux reflets multiples portés par une foule de sorciers et sorcières aux talents quelconques. Diverses fioles aux contenus inquiétants trônaient sur les étals des apothicaires aux côté de livres usés et de parchemins écornés.
La cité magique ne semblait être que profusion de couleurs et d’essences. Un gigantesque caléidoscope de toute la connaissance de la magie de ce monde.

Lunaras était dirigée par les cinq "sacred summoners", le plus haut titre de la sorcellerie. Appelée la "dixième cité", Lunaras disposait d'un corps de mages ambassadeurs appelés plus communément Bardes. Présent dans les cours des neuf cités maîtresses de Midgard, les bardes avaient pour mission de controler et tempérer l'usage de la magie, pour éviter de graves débordements. Les "sacred summoners" étaient respectés dans toute la cité pour les valeurs qu’ils défendaient avec passion. Leurs pouvoirs exceptionnels faisaient d’eux des légendes vivantes de Midgards, capables de déchaîner toutes les puissances de ce monde. Et pourtant jamais dans l’histoire aucun d’eux et de ceux qui les avaient précédés n’avait eu à faire montre d’une telle puissance pour mettre fin aux conflits.

Là-bas, Orodreth fit la rencontre de Milamber, un vieux maître sorcier usé par le temps. Ils s’étaient rencontrés dans le grand hall du palais de Lunaras. Une querelle entre deux mages avait éclaté et ceux-ci lançaient sortilèges et maléfices à tout va sans même plus prendre garde à ce qu’ils faisaient, perdus dans leur imbroglio. Plusieurs magiciens avaient déjà étés blessés et la garde avait du mal à maîtriser les querelleurs. Un sortilège de saignée parti à ras le sol en direction d’Orodreth à une vitesse folle. Instinctivement, celui-ci croisa ses bras en position de défense et se prépara mentalement à recevoir un choc dont il ignorait la nature. D’un coup le temps et l’espace semblaient s’être figés pour lui et des mots qu’il ne compris pas lui apparurent nettement à l’esprit. En les lisant mentalement, il déchira le voile trouble dans lequel tout semblait s’être arrêter pour redonner au temps son cours normal. Un mur de glace épais de plus d’un mètre se dressa avant que le maléfices n’atteigne Orodreth et un bonne moitié vola en éclat à l’impact.

Ayant assisté à la scène, Milamber avait emmené le jeune homme dans ses propres appartements du palais et lui donna un grand bol de soupe à avaler. Pendant qu’il mangeait, Orodreth voyait l’ancien le fixer d’un regard dur, pénétrant. Après l’avoir jaugé pendant plus d’une heure par des moyens que lui seul connaissait, Milamber lui proposa de le former aux arts et à la pratique de la magie.

Sous la tutelle de l'ancien, Orodreth se révéla un talent insoupçonné pour la magie ayant trait à la manipulation de l'eau sous toutes ses formes.
Les quelques sortilèges de base furent appris rapidement, comme la lance de glace ou le voile de brume, sort qui permettait au sorcier de créer une nappe de brouillard lui assurant une disparition de quelques secondes.

Désireux de découvrir toujours plus merveilles de ce monde, Orodreth repris la route au bout de quelques années, alros qu'il était agé de dix-neuf ans. Le vieux maitre lui ayant confié un grimoire on ne peut plus complexe sur l'hydromancie, et lui ayant fait promettre sans difficulté de cultiver son talent pour cette magie.

Pour commencer :

Vous avez sept niveaux à répartir : (3 caractéritiques, 2 compétences de combat et 2 compétences personnelles)
Vous disposez au départ de :

1 "Bon"

2 "Moyen"

2 "Faible"

2 "Merdique"


Vous les repartissez où bon vous semble !

Ben, c'est déjà fait, non ?

J'ai mis faible et merdique pour (peut-être) te laisser plus de marge de manoeuvre en ce qui concerne l'évolution du personnage.

Je vais les mettre en gras pour qu'ils ressortent plus

Toi tu as mis 5 faibles, 1 moyen et 1 merdique.

Alors que tu as normalement droit à 1 bon, 2 moyen, 2 faible, 2 merdique.

Moi je veux bien que tu garde "faible" partout, mais ces valeurs font varier les jets de dé que je fais, et avec faible partout, tu risque de pas pouvoir réussir tes actions.

voila c'est arrangé. désolé en lisant les règles, je ne l'avais pas vu comme ça. Je savais que ça influait sur les dés, mais je n'avait pas bien fait attention à la répartition.

Merci Sephi

Tu commences l'aventure avec 225 pièces d'or en ta possession, sur Gaia, dans la ville de Providence.

MAJ de l'histoire, je développerais plus tard le passage de Lunaras (si tant est que ça plait et que je saoule personne )

quelle histoire fabuleuse !
continue comme ça

je continue dès que j'ai un peu plus de temps, mais en ce moment c'est rapport de stage powaaa

tu devrais déjà avoir de l'XP pour cette intro féérique

Super le RP...


Il va s'amuser séphiroth

UP, mais il semblerait que je fasse chier ceux qui essayent de dormir à rester sur le pc à cette heure tardive sur le pc de salon, ce sera à continuer si l'inspiration vient.

Je vais me coucher, bonne nuit à toutes et à tous.