Poème(s?)

Kellen, connue dans tout l'univers,
Elle inspire tout le monde a faire des vers.
Le jour elle éblouit tel de l'or.
La nuit avec son Floto elle dort.
Eternelle sera son histoire
Nul de ses écrits sombrera dans le noir...

Invité

Ô serenade fantastique
Puisant au lointain frénetique
Ta reluisante energie
Qui fit de nous tous des nantis

Créature céleste de mes jour
Sonate ultime de l'amour
Vers incorrigible en soie
Quand je me meurt en rêve de toi

Punition finale de mes pensée
Point trop de sang pour l'être aimé
Relief du coeur comme de la vie
Je meurt de toi plus que d'envie

Baiser fatal de tes lévres
Comme au grand bal le jour se léve
Une derniére fois sur nos deux coeur
Vivons ensemble notre derniére heure

j'vais me faire pleurer bordel ! #118

Invité

Comme des abeilles autour d'une fleur épanoui
Tous les plus beaux dans la Clem Team se sont réunis....

Invité

Ha on est des bons !!

Qui ressemble à des moucherons !

(j'ai fait exprès la rime Razz

)

Il y en a qui se déchirent ! #085

Invité

au suivant de ces poetes

Seul sur sa colonie eloignée
Hantant des systemes inexplorés.
Organisant une attaque dans une heure
Grand sera le champs pour ses recycleurs.
Une planète vient d'etre attaquée
Nul ne sait que la flotte de Shogun est passée...

Invité

merci LAL c'est..........beau #079

je t'en prepare un promis^^

PENSEES EROTIQUES

Quand ton corps se cambre,
Chaque parcelle de mon corps tremble,
Transcendé par le désir malin,
De me blottir contre toi, serein
Je ressens le divin besoin,
D'aller et venir entre tes reins.

Des pensées érotiques,
M'enivrent et me délivrent.
J'ai envie de son corps
Et dites moi si j'ai tord ?

La vue de ton corps nu étame mon âme,
Excite et attise en moi les flammes.
Ce désir névrotique, hérétique,
Exalte le moment fatidique,
Où nos deux corps ne feront plus qu'un,
Sentant mon dos griffé par tes mains.

Des pensées érotiques,
M'enivrent et me délivrent.
J'ai envie de son corps
Et dites moi si j'ai tord ?

Sentir la chaleur de ta peau,
Réveille en moi un désir en écho.
Je vois ton corps brusquement s'arquer,
Et ton esprit dans les cieux s'égarer.
Quand tu flottes sur l'océan du plaisir,
il me serait égal de mourir...

Des pensées érotiques,
M'enivrent et me délivrent.
J'ai envie de son corps
Et dites moi si j'ai tord ?

Thomas

j'avais créé un topic mais j'avais pas vu celui ci, alors je le déterre ! mdr

[Je déplace le sujet dans le nain raffiné, qui me semble plus approprié]

Joli Thomas, je l'avais déjà vu sur ton blog je crois, avec quelques autres #085

N'arrivant pas à trouver le sommeil, j'ai pris ma plume ( bon Ok mon bic et mon clavier) et j'ai été inspiré, il faut dire que j'ai une très bonne muse...

...Pour Toi...

Pour toi qui es la vie, pour toi qui es l'amour,
Toi dont le regard vibre aux portes du toujours,
Toi qui es la réplique exacte de nos jours
Imprégnés de tendresse et de mille et un tours,
Ce poème éclairant ton cœur, cet infini
D'où jaillit tant de feu où plus rien ne finit !

Pour toi qui veux connaître une nuit de vertiges
Toi qui veux dépasser le temps et ses vestiges
Toi dont l'âme sensible expire et puis se fige
Pendant la nuit étrange, exempte de litige
Cette ébauche d'amour sans contraint en retour
Sortie de mes pensées jusqu'à mon dernier jour !

Pour toi blanche colombe aux ailes de bonheur
Toi qui as, par ta voix, su apprivoiser l'heure,
Toi pour qui chaque souffle exprimé par mon cœur
Dépose un antidote à tes moindres douleurs,
Ces quelques mots d'amour, ces quelques mots d'espoir
Ayant valeur humaine à l'approche du soir !

Pour toi reine de nuit, beau papillon des champs
Toi qui virevoltes dans les couleurs du temps
Toi, étincelle étrange, illuminant longtemps
Pour lui redonner vie, le cœur meurtri des gens,
Cette chanson lointaine, éternelle et sacrée
Par laquelle l'amour à tout moment se crée !

Pour toi qui as souffert tout ce que je vais vivre
Toi qui d'un seul regard, de la mort me délivre,
Toi qui me rends si fou qu'en tes yeux je m'enivre,
Alcoolique amoureux dont les larmes sont givre,
Ce tourbillonnement de mes pensées d'un jour
Reflétant ton image, espérance d'amour…

Thomas

Invité

http://triums.forumactif.com/viewtopic.forum?t=1575&start=0

Voici un petit concours de poèmes qui s'est récemment déroulé au sein du Triumvirat!

J'ai attentivement relu tous les poèmes de ce topic. Bien sûr je ne nie pas que la poésie puisse paraître comme un art à part entière, le travail consistant à écrire une suite de phrases respectant un certain nombre de pieds, la rime à la fin des vers, ces vers pouvant être agencé de différentes manières... En cela, c'est déjà un gros travail, et je trouve certains de ces poèmes magnifiques. Mon problème, le voici :

Calmes dans le demi-jour
Que les branches hautes font,
Pénétrons bien notre amour
De ce silence profond.

Fondons nos âmes, nos cœurs
Et nos sens extasiés,
Parmi les vagues langueurs
Des pins et des arbousiers.

Ferme tes yeux à demi,
Croise tes bras sur ton sein,
Et de ton cœur endormi
Chasse à jamais tout dessein.

Laissons-nous persuader
Au souffle berceur et doux,
Qui vient à tes pieds rider
Les ondes de gazon roux.

Et quand, solennel, le soir
Des chênes noirs tombera,
Voix de notre désespoir,
Le rossignol chantera.

Les amateurs de poésie auront sans doute reconnu le poème "En sourdine" de Verlaine, tiré des Fêtes Galantes. Peu importe le poème, la démonstration aurait marché avec tous. "Le demi-jour que les branches hautes font" ? Vous ne trouvez que ça manque un peu de fluidité ? Une fois arrivée à la fin de la phrase on a l'impression d'avoir glissé sur une rape à gruyère. "les vagues langueurs Des pins et des arbousiers" ??? Quelqu'un dans cette salle a-t-il déjà utilisé le mot arbousier ? Et je ne savais pas que les arbres pouvait avoir une "vague langueur".

"Laissons-nous persuader
Au souffle berceur et doux,
Qui vient à tes pieds rider
Les ondes de gazon roux. "

Persuader de quoi ? Le poète ne finit même pas sa phrase ! Mais admettons, laissons-les se persuader de quelque chose, tandis que le vent "ride les ondes de gazon roux" !!! Trois mots dans le même vers qui ne vont pas ensemble : onde, gazon et roux.

Et voilà que maintenant "le soir Des chênes noirs tombera"... Même si j'ai du mal à concevoir que le soir tombe d'un arbre, où sont donc passer les pins et les arbousiers ??? Maintenant c'est des chênes ! Pourquoi ?

"Voix de notre désespoir, Le rossignol chantera. "
Tien, tien ! On nous parle d'amour, d'union entre deux êtres, tout se passe bien, mais un piaf à la c** viendra chanter le désespoir... Vous ne trouvez pas qu'il y a un problème dans l'énoncé ? Il faut toujours qu'il y ai un put** de rossignol pour venir tout gâcher !

Je pourrais décomposer d'autres poèmes de Verlaine, Rimbaud, Hugo (Victor, pas toi Bisounours ! #016

) ou d'autres, j'ai l'impression que si le but de la poésie est de parler avec son coeur, le résultat final sonne toujours faux. C'est vrai, on concentre tellement d'énergie à vouloir placer une rime au bon endroit, à recompter le nombre de pied, que l'on va chercher des mots "bidons" qui n'ont rien à voir avec les choses que l'on souhaitait dire à la base. Tout ça pour respecter le style propre à la poésie. A mon sens la poésie impose des règles qui détruisent la nature de ce que l'on ressent, et donc je vous l'annonce clairement, JE NE COMPRENDS STRICTEMENT RIEN A LA POESIE !!! #010

Aussi, ne désirant pas rester dans l'ignorance totale, j'encourage les pauvres malheureux qui voudraient tenter de me convaincre à le faire s'ils en ont le coeur...

Invité

Ah, mes poèmes sont pas biens ?!?
pfff c'est ça ouais, t'a pas d'gout, voila tout !!

Bon, moi y'en a un que j'aime bien c'est de Charles ! (Baudelairs, pas toi sephi Wink

)

Une Charogne

Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux:
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,

Le ventre en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.

Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint;

Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.

Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.

Tout cela descendait, montait comme une vague
Ou s'élançait en pétillant
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.

Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.

Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.

Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un oeil fâché,
Epiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.

- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion!

Oui! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Apres les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.

Alors, ô ma beauté! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés!

Il faut savoir, que baudelaire parle de sa chère et tendre appelée aussi la Veuve noire, una alcolique drogué dont il est amoureux, c'est un amour spirituel ! Il l'empèche simplement de se suicider... Charmant Very Happy

Belle analyse sephi !

Invité

Quand j'ai vu ce sujet,
Je le pensais de messages d'Anasthore bondé,
Mais en réalité,
Ici, beaucoup de C_Ts,
Du merveilleux travail ont fait...

Invité

Ô odeur terrible au goût amére
Quel poesie dans un seul verre
les bulles remonte par manque d'air
La mousse s'effondre sur tapis vert

Ô sublime delice de nos guerre
Ennemis terrible de nos mére
Le revigorant de nos hiver
La seule qu'ont léve, la biére.
AL kolicq

Marasme

L’aube se lève au loin, sous de très gros nuages,
Le tonnerre qui roule annonce des orages,
Ce jour et ses demains seront tous des mort-nés,
Nous vivrons dans le noir, comme des condamnés.

L’espoir d’un avenir est devenu mythique,
Arrêtez, arrêtez, la course frénétique,
De faire des enfants pour des jours incertains,
Qui s’avancent vers nous, du sang entre leurs mains.

Ils seront sacrifiés à des conflits iniques,
Peut-être, ils périront des mains de fanatiques,
Ils n’auront pas le choix de goûter aux amours,
Car les événements tronqueront leurs parcours.

Nous subissons l’effet de mouvements sismiques,
C’est un énorme choc des plaques tectoniques,
La lave des conflits qui cherche à s’échapper,
Va surgir de partout pour nous envelopper.

Il est minuit moins cinq, et l’horloge s’avance,
Inexorablement, Vers notre survivance,
A la fin de ce jour ; va-t-elle nous donner,
L’espoir d’un lendemain, qui va nous pardonner ?

Verrons-nous resurgir une nouvelle aurore,
Subirons-nous le sort de Sodome et Gomorrhe,
Serons-nous emportés par le courant du Styx,
Où serons-nous sauvés par le saint crucifix ?

Mon espérance fut, depuis mon très jeune âge,
Ma compagne de route et mon droit de passage,
Mais je me sens trahi par mes contemporains,
J’ai le pressentiment d’horribles lendemains.

On veut que tout le monde adopte nos cultures,
On applique la force, on détruit les structures,
De ces peuples anciens, qui sont les nations,
Berceaux de toutes nos civilisations.

Je ressens un marasme au bord de cet abîme,
Qui façonne nos jours et qui nous envenime,
Par les vagues discours des moralisateurs,
Qui nous jettent la poudre à nos yeux et nos coeurs.

Invité

MANIFESTE CONTRE L'INDIFFÉRENCE
DÉFENDANT LA CAUSE DES ÂMES SENSIBLES

Je ne suis pas de ceux qui piétinent la terre
À la manière de soldats arrogants et lâches,
À la manière des fauves dont la seule tâche
Est de multiler le faible et le débonnaire.

Je ne suis pas de ceux qui convoitent éperdument
Les mondes superficiels où s'entremêlent
Délices impudiques et attraits surnaturels
Où se perdent les infidèles absolument.

Je ne suis pas de ceux qui ont pour seule vocation
La bêtise humaine et l'orgueil des aveugles,
Qui ont le coeur encrassé, tremblant comme des feuilles
Lorsque surgit la sagesse écrasant l'affliction.

Qui suis-je ?
Une fleur fanée
Une rose fragile
Qui se bat pour la vie
Qui a le dédain de la mort
Je tergiverse mais je suis fort
Mais je suis fragile

Je suis de ceux qui cherchent l'innocence,
Celle qui apaise et qui restaure l'honneur
D'être simple, d'être humble, de goûter au bonheur,
Celle qui fuit l'horreur et l'indécence.

Je suis de ceux qui incantent la dignité,
Qui espèrent l'harmonie toujours plus grande,
Qui font de l'amour une propagande,
De la paix un dogme de blanc teinté.

Je suis de ceux qui vénèrent la vérité,
Qui aiment l'absolu et l'intemporel,
Sources des rêves et des mondes immatériels
Traçant la silhouette de la déité.

Qui suis-je ?
Une fleur fanée
Une larme amère
Perdue dans un océan trouble
Mais pas encore poussière
La sève coule encore en mon être
Mais elle est gelée par l'hiver

Invité

allez je poste un de mes poêmes pour mon premier post ici #022

LE REMPLAÇANT

J'avais peur de la mort
Alors
J'ai fui, lutter
Et résister

...Quand elle est venue me voir.
Quand elle est venue me voir...

Je ne sais comment
J'eût la gloire
De ce combat contre cet être
Qui faiscait couler le sang.

Mais la mort ne peut disparaître et
On ne peut y échapper.
J'ai juste libérer un poste,
Un poste qu'il fallut que je prenne.

Ainsi, j'étais
Ce qui me terrifiait;
La capuche noire sur l'écrin
Et la faux dans la main.

Je venais chercher
Ses noms situés
Sur la liste et
Tout ça sans impunité

Jusqu'au moment
Où s'afficha un nom,
Un nom dont je redoutais l'apparition,
Un nom qui aura droit bientôt à un enterrement.

Le jour venu
Pointer la lame dans sa direction
Était hardu
D'autant plus qu'elle implorait l'absolution.

Un vœu que je ne pouvais réaliser;
Je n'étais que l'outil des cieux,
La volonté des Dieux
Qui de là haut, m'ordonnez!

Finalement, le repos, j'offrit à mon âme
Et en vie je l'ai laissé
Malgré
Qu'à la place
Je lui légua le costume...

Invité

Devil HuGo a écrit:: Ah, mes poèmes sont pas biens ?!?
pfff c'est ça ouais, t'a pas d'gout, voila tout !!

Bon, moi y'en a un que j'aime bien c'est de Charles ! (Baudelairs, pas toi sephi )

Une Charogne

bon j ai un peu coupé le post ^^.

Mais pour dire ma rpof de fracnais de l an dernier aiamis aussi ce poème et sa me rapelle de mauvais souvenir vu que je suis mauvasi en francais :p

(7 et 9 au bac ^^.

)

heureusemetn y a les math

Allez moi assi je vous faits un poème sur mon atroce souvenir de cette année :p

Franchement, parfois les choses qu'on veux oublié
Reste dans notre mémoire et nous casse les pieds
Agacé, on fini par vraiment tout essayé
Non sans prendre la risque de nous mettre en danger
Car se souvenir qui cesse de nous hanter
A pour unique but de nous annihiler
Il faut alors songer a s'en débarasser
Seulement les notes alles reste imprimé

, tu as du souffrir le martyre, saint navet sois béni #016

Que la force soit avec toi ^^.

Sinon, ravie de te voir là Termitator #016

et pour ne pas déroger à la règle des poèmes, il faut bien que j'en poste un mais étant incapable d'en faire un, ce n'est pas mon style d'écriture, je mets mon préferé, Tristesse d'Alfred de Musset :

J'ai perdu ma force et ma vie,
Et mes amis et ma gaieté;
J'ai perdu jusqu'à la fierté
Qui faisait croire à mon génie.

Quand j'ai connu la vérité, j'ai cru que c'était une amie;
Quand je l'ai comprise et sentie,
J'en ai été dégoûté.

Et pourtant elle est éternelle,
Et ceux qui se sont passés d'elle
Ici bas ont tout ignoré.

Dieu parle, il faut qu'on lui réponde.
Le seul bien qui me reste au monde
Est d'avoir quelques fois pleuré.

Invité

Oui j aime bien ce poème aussi Smile

tain pour flooder faut poster un poème

Navet, celui la tout le monde l' a aimer
Avec lui on aime bien se souler
Voici donc un être qui aime s amuser
Et même si parfois il nous casse les pieds
Tout de même il préfère le vb

Invité

O_o salut termit' !!!

moi je vous fait découvrir, non pas un poème, mais une chanson...

Cristophe mali _ Le Premier Amour

Le premier amour est toujours le dernier
Ah le vieil adage au parfum démodé
She's so lovely
Sur la pointe des pieds
J'ai longtemps hésité
Le premier amour est toujours le dernier
La première gorgée si dure a ravaler
Passent les semaines
S'envolent les années
Je vous ai regrettée
Impossible à effacer
Difficile à oublier
Le premier amour est toujours le dernier
Vierge de passion épris de liberté
Au bord du chemin
Après des années
Je me suis arrêté
Le premier amour est toujours le dernier
Trop vive blessure qu'on a laissé passer
Vous revient au galop
Je suis le cavalier
Je suis venue vous chercher
Impossible de refuser
Difficile à éviter
Le premier amour est toujour le dernier
Ma mie ma forêt mon élixir sacré
La vie fait son oeuvre
Ranime les regrets
Vous m'avez tant manquée
Le premier amour est toujours le dernier
Fidèle sauvage à mon âme est liée
La peur du vide
Fait tout recommencer
Je suis venu vous chercher
Impossible de refuser
Difficile à éviter
Le premier amour est toujours le dernier
Ah le vieil adage au parfum démodé
She's so lovely
Sur la pointe des pieds
Je suis venu vous chercher