Je me suis réveille cette nuits vers 2h00, les néon de l’hôtel voisin qui se trouve juste en face de ma chambre ne me facilitait pas le sommeille, j’avais encore le goût dans la bouche de tabac et d’alcool que j’avais bu avant d’allez me coucher pour mieux tomber dans les bras de Morphée, une fois de plus je me trompait.
Je m’assiez sur le bord de mon lit lentement encore a moitié endormis, comme un automatisme je tend la main sur ma table de nuit, je prend mon paquets de Marlboro light non pas parce que je suis au régime mais simplement je les préfère au rouge… J’allume ma cigarette et comme un drogué qui prend sa dose je joui du mal que je me fait, quesque je m’en fous de toute façon il faut bien crever de quelque chose.
Cigarette à la main je me lève, je regarde au tour de moi, ma chambre était bien la représentation de mon état d’âme, un vrais chaos.
Nu j’avance me dirigeant vers la fenêtres pour voir si le monde existait encore… cars moi je me sentait tellement vide. Le magasin d’en face, gérer par des Pakistanais normalement ouvert 24h/24 était fermer, sa m’étonnait, eux qui travaille aussi le jour du Nouvel An, quel poisse je n’ai plus de clope, et vue comme ce présente la nuit il faut que j’aille me refournir…
Je décide alors de sortir une fois de plus en plein milieux de la nuits, prenant un prétexte pour vagabonder dans la ville, j’adore me balader en pleine nuits dans les rue déserte.
Je remets mon jeans délaver qui ne vois l’eau depuis une semaine, je prend au vol un pull, et j’enfile mes bottes genre camperos, j’aime me donner un style cow-boy moderne, pour d’autres je ne suis qu’un paysan sans aucun goût pour la mode, mais moi de la mode je m’en fous royalement, je ne suis pas un mouton qui suis la masse, je me considère plutôt un solitaire qui suis son chemin sans trop connaître la destination.
Je ferme la porte de mon appart. Je ne fait même pas le tour de la clefs de toute façon il n’y a rien a voler, pas de télé, pas de meuble de grande valeur, sauf un transistor qui me fait compagnie dans ma piaule pour mes nuits d’insomnie.
En descendant les escalier j’essaye de me souvenir ou j’avait bien pus garer ma bagnole, je voulais pas de nouveaux avoir l’aire d’un con en cherchant pendant des heures comme je l’avait fait une semaine auparavant, pour me rendre compte a la fin que j’était rentrée en taxi, et la caisse je l’avait laisser devant le « Blue Moon »
Ha le « Blue Moon » mon petit coin de bonheur… Que des bon souvenir dans cette boite fréquenter par les bas fond de Chicago.
Je pense que je vais faire un petit détour chez Miranda en allant chercher mon tabac.
Si il y a bien une femme qui a su gagner le respect des homme c’est Miranda une portoricaine qui a fait de cette boite le lieu de rencontre par excellence des cœur solitaire.....