Un instant de réflexion parcouru l'esprit de Tarask. Après mur rélflexion, le sud le rapprocherai de Galgor ce qu'il ne voulait pas... C'est une bien mauvaise aventure qui s'offrait à lui, même si il n'y avait que des champs à ertes de vue, la faim le rongeais et il ne souhaitait pas voler aux fermiers leur récolte...
Tarask prit alors la route vers le Duché de Bearn. il n'esperait qu'une chose, voir sur sa route une petite maison acceuilante qui pourrait lui offrir un repas.
Et il en trouva une, même deux, puis trois. C'était tout un village qui se trouvait aux abords de la route. Il y avait là une vingtaine de maisons, toutes de petites taille, ainsi qu'une demi douzaine de
granges.
Soudain, le tonnerre gronda ; tous les habitants rentrèrent dans leurs demeures, et quelsues secondes plus tard, la pluie se mit à tomber à grosses gouttes.
Utilisant sa cape pour se protéger de la pluie, Tarask regarda si il ya vait une auberge dans le village.
Ce n'était pas le cas. Il devait s'agir d'un bourg sans importance qui dépendait directement de Galgor. Il ne devait y avoir aucun bâtiment public, ni même de poste de garde. Tarask chercha des yeux un endroit pour se mettre à l'abri. A part le porche d'une grange en piteux état, il n'en voyait pas d'autre.
N'ayant plus d'autre choix, il frappa à la porte de la première batisse qui semblait habité.
C'est une jeune femme qui ouvrit la porte. Elle portait une longue robe grise de paysanne, mais sa chevelure noire était tout aussi soignée que celle d'une princesse. Elle dévisagea Tarask ; la frayeur pouvait se lire dans ses yeux.
Prenant un ton calme Tarask annonça à la femme:
Compétence Diplomacie
- Bien le bonjour chère madame, je suis désoler de vous déranger mais j'aurai voulu savoir si votre maison pouvait offrir le gîte à un humble diplomate que je suis. Ma présence sera discrète et je compte pas rester plus d'une nuit soyez rassurer.
Apparemment le discours de Tarask fit son effet ; du moins la magnifique jeune femme cessa de trembler. Mais elle répondit d'un ton presque ferme.
- Mon père et mes frères travaillent aux champs. Je suis toute seule pour garder mes petits frères et ma petite soeur. Nous avons à peine de quoi manger, et nous sommes déjà très serré dans la maison. Je peux vous abriter de la pluie jusqu'à ce que l'orage cesse, ou jusqu'au retour de mon père. Après il vous faudra partir.
- Très bien, alors je ne vous priverai pas de votre maigre repas, mais si vous pouviez me protéger de l'orage, vous aurez déja fait beaucoup pour moi et je saurai m'en souvenir croyez moi.
Tarask attendit un geste de la femme avant de rentrer pour ne pas paraitre impoli
La maisonnette était loin d'être accueillante. Le mobilier était composé d'un grand lit disposé au fond de la pièce, d'une table vide et d'une armoire de mauvaise facture. Une échelle menait à la soupente, où plusieurs lit devaient se trouver. Deux jeunes garçon d'une dizaine d'année jouaient avec des petits cailloux auprès de la cheminée. Une petite fille plus jeune coiffait une poupée usée à laquelle il manquait un bras, et un bébé d'à peine un an poussait une colère folle dans une chaise adaptée à son âge. Les jeune femme alla s'occuper de lui, laissant libre court à Tarask. L'orage gronda une fois encore, avant que Tarask ne se décide à refermer la porte.
Ce triste décor rfit remonter en Tarask de nombreux souvenirs de son enfance pauvre dans les rues de Derris Kharlan. Chassant ses souvenirs il s'installa contre un mur, debout, attendant que l'orage passe... Mais le spéctacle était trop horrible, imaginez cette pauvre famille vivre ainsi, il ne le permetterai pas. Il se jura qu'un jour il sortira cette demoiselle de ce taudit et il l'emmenera vers un monde meilleur. Ce sera son but désormais. Mais avant cela il lui falait attendre que l'orage passe. Regardant ce que la jeune femme fesait, il alla lui propser son aide en bon gentleman.
- Laissez moi vous aidez a tenir la maison très chère, ce sera mon présent pour le toit que vous m'offrez.
- Hélas, il n'y a rien que vous pourriez faire pour vous occuper ; j'ai déjà passé trois fois le balais ce matin. Vous pourriez vous occuper des poules, mais une meute de loup les a toute emporté il y a trois lune. Peut-être pétrire le pain ? A mon non, suis-je bête, nous n'avons plus de farine. Plus de pain, plus de viande, plus de légumes ni de fruits. Juste une marmite à moitié vide de gruau pour ce soir !
Le jeune femme parlait avec un ton narcissique, comme si elle dénonçait la fatalité dont elle était la victime. Tarask se sentit mal à l'aise. Avec ses vêtements de voyage de bonne facture, il faisait office d'aristocrate ayant trop peur d'être mouillé par la pluie pour continuer son chemin. Dehors un éclair tomba à quelues lieues de là, comme pour briser d'avantage le coeur de Tarask...
- Ne vous voyez pas offensé madame.
[Diplomacie]
- Si mon apparence vous trompe, je suis loin d'être quelqu'un de supérieur. Certes mes vêtements peuvent vous donnez l'illusion d'un aristocrate, je suis quelqu'un qui vous doit un service, et ce service vous sera rendu! Ne me voyez pas comme quelqu'un de different, mais plutôt comme un égal car c'est comme cela que vous m'apparaisser.
Utilisant toute la sincérité dont il pouvait faire preuve, Tarask appuya son discours d'une voix à la fois émouvante et forte de courage, tel un chevalier Séraphe, bras armé du Puissant maître de Sigma Draconis. Un lourd silence s'installa suite à ces paroles, casser par la tomber d'un éclair. Le grondement de la foudre passer, Tarask ajouta :
- Puisse mes mots vous convaincre de ma sincérite, et si ce n'est pas aujourd'hui que mes bras vous servirons, alors ce sera dans le futur que je vous offrirai cette force, non pas pour recevoir votre merci ni votre respect, mais juste pour VOUS remercier ce toit que vous partagez avec moi.
- Par Hadès, qu'est-ce qui se passe ici ?!
Tarask avait pu lire sur le visage de la demoiselle une lueur d'espoir, une infime, car elle cessa de briller au moment où la voix retentit. La porte s'ouvrit brutalement et un homme de grande stature entra, complètement trempé. Il portait des vêtements déjà ternes à la base, mais également salis par la terre et la transpiration. Avec sa longue barbe noire, ses cheveux hirsutes et sa pioche tenue à deux mains, il imposait le respect, voir même la terreur. Deux hommes plus jeunes et plus minces, mais tout aussi bien bâtis, le suivaient, également armés d'une fourche et d'un bâton. Il n'en fallait pas plus pour faire comprendre à Tarask que le père et les frères de la jeune femme étaient rentrés plus tôt de leur longue journée de labeur. L'homme dévisagea Tarask ; ce fut la peur qui s'exprima d'abord sur son visage. Il scruta la pièce, sembla compter ses marmots, puis revint à l'intrus. C'est alors que son visage changea pour prendre une impression de colère.
- Que faites-vous chez moi, l'ami !?
La surprise, c'est la première expression qui s'afficha sur le visage de Tarask qui n'avait pas prévu le retour si rapide du propriétaire des lieux.
- Bien le bonjour monsieur et désoler de vous apparaitre ainsi au beau milieu de votre maison sans vous en avoir informé. Je me nomme Tarask, un humble voyageur qui a chercher à se protéger de la pluie. Cette jeune femme a humblemant accepté de m'offrir une protection le temps que la pluie cesse. Je ne suis donc pas là pour vous voler quoi que ce soit, j'était même en train d'expliquer a cette femme que dès que je trovuerai un moyen de vous rendre la pareil lorsque j'en aurai l'occasion.
Ne sachant pas si son discours ferait effet sur cet homme, Tarask se tenait prêt à tout moment a devoir utiliser son épée même si c'est quelque chose qu'il déteste faire.
- Rares sont les voyageurs honnêtes, et encore plus rares sont ceux qui demandent l'hospice à des personnes comme nous ! répliqua le père avec un ton soupçonneux.
- C'est probablement un voleur ! lança un des frères.
- Il est sûrement recherché ! fit l'autre en s'approchant le bâton près à frapper.
Mais son père lui barra le chemin de son large bras.
- Nous n'avons la preuve de rien, ni de votre culpabilité, ni de votre innocence. Aussi je vous prierais de sortir de mon humble demeure. Nous y sommes suffisamment à l'étroit, et le repas de ce soir s'avère maigre. La pluie ne va pas tarder à s'arrêter, et puis, elle n'a jamais tué personne...
- A vrai dire, la pluie m'ayant surprise j'ai choisi la première maison qui était là. De plus, je n'était nullement interessé par votre repas. Mais si la pluie cesse alors je vais m'en aller.
Tout en se dirigeant vers la porte, Tarask ajouta:
- Juste pour savoir, est-ce qu'un humble fermier de ce village serait prêt à me vendre un cheval afin que je voyage plus rapidement?
Les trois hommes regardèrent Tarask comme si ce qu'il venait de dire était abominable.
- Un cheval !? fit le père. Mais dans quel monde vivez-vous ?! Il n'y a que les nobles et les chevaliers qui peuvent se payer le luxe d'avoir un cheval ! Ce sont des boeufs qui tirent nos charrues ! Le vieux Hugdebert a bien une mûle, mais je doute qu'il accepte de s'en séparer...
Dernière erreur... Tarask se dirigea vers la sortie, s'inclina devant ces paysans et leur répondit:
- Très bien, alors je continuerai ma route à pied, loin de moi l'idée de prendre la mule de ce vieux Hugdebert. Je vous remercie une dernière fois et au revoir.
Tarask franchissa la porte, les dernières goute de pluie tombeait, l'orage était calmer. Tarask prit une dernière inspiration, replaça sa cape sur ses épaules et reprit alors la route pour le Duché de Béarn.
- Puisse les dieux m'accompagner, pensa t-il.
Le nuit tomba trois heures plus tard, alors que la fatigue et la faim commençait à ronger le corps de Tarask. Il n'avait aucune ration, et la forêt était si loin qu'elle lui paraissait hors d'atteinte. En plus, Tarask ne savait même pas chasser. Mais alors que le ciel revêtait sa robe noire, Tarask distingua une lumière au loin. C'était un fu de camp. Apparemment des voyageurs étaient sortis de la route pour camper tout près d'un lac un peu en contre-bas. Tarask ne pouvait estimer leur nombre, mais il y avait au moins cinq chevaux qui s'abreuvaient au lac et une cariole.
- Des aventuriers ou des Bandits? pensa Tarask. Ils ont 5 chevaux, une cariole, disont 1 cheval pour tirer la cariole sa fait 4 Hommes minimum.
N'ayant guère le choix Tarask s'approcha discrètement de la cariole pour voir les personnes qui se trouvaient non loin